Une solution qui facilite la mise en place d’actions digitales

 

Interview de Jérôme Soleymieux, Fondateur de Cojecom

Cojecom est une agence ou une régie, tout est une fonction de point de vue, qui a pour objectif d’améliorer la performance digitale de nos clients. Nous nous adressons naturellement à tous ceux qui ont pour objectif l’amélioration de leur potentiel digital par une méthodologie qui nous est propre. 

Nous considérons en effet 4 points essentiels sur lesquels nous travaillons de manière coordonnée et dynamique afin de proposer le meilleur contenu aux cibles de nos clients. 

Premier point, nous travaillons sur les cibles et scorons les internautes selon une méthode et des outils propres en fonction notamment de la proximité de l’internaute par rapport à la marque. 

Ensuite, nous diffusons directement et sans priorisation sur l’ensemble des canaux (display, search, affiliation, social média) sur lesquels nous avons les outils, les méthodes mais aussi les experts. Puis, nous adaptons les messages en fonction de chaque cible avec une dynamisation du contenu par cible. 

Enfin, nous créons des pages de destination efficaces, en lien avec les messages transmis pour permettre une cohérence dans la transformation du prospect.

Quelles ont été les évolutions de la relation client sur les 5 dernières années sous l’impact du digital ?

Nous sommes passés de clients néophytes à des clients sollicités et donc qui maîtrisent mieux les sujets. Toute la problématique est à ce jour d’apporter de la valeur et de passer d’une relation client basée sur la simple diffusion à une relation basée sur la stratégie, sur l’échange et sur une vision globale du digital au sein même de l’entreprise.

Quelle solution proposez-vous à vos clients pour animer leur point de vente ?

L’objectif reste le trafic sur le point de vente de notre côté. l’idée est d’utiliser le digital comme un média de trafic tel qu’on peut utiliser la radio par exemple. Toute la difficulté dans le digital est le travail sur les créations et les visuels et dans la rapidité de mise en place de contenus corroborés par une actualité sur un site. 

Par exemple, des bannières publicitaires sur une animation en point de vente qui amènerait sur les pages d’un site donnant les horaires d’ouverture ne fonctionneraient pas. Il est important d’amener les internautes sur un site qui prolonge leur envie d’en savoir plus. Ce sont des considérations que l’on n’a pas dans les médias dits traditionnels ou seuls les messages doivent être créées et non penser au tunnel de conversion.  Certains réseaux quand ils n’ont pas de solutions, n’investissent donc pas dans la publicité digitale. Or, chez Cojecom, nous avons développé une solution qui facilite la mise en place d’actions digitales en créant des mini-sites d’arrivées ainsi que tous les visuels publicitaires associés pour lancer facilement et rapidement des actions digitales. La Cojebox que nous venons de lancer permet d’anéantir les coûts de création pour se concentrer sur la diffusion et l’impact des messages afin de générer du trafic en point de vente.

Des réseaux sociaux aux chabots, pensez-vous que la relation client va devenir plus conversationnelle et asynchrone ?

Difficile toujours de prédire l’avenir. Quel sera l’impact des bots dans les relations clients ? Je pense que cela sera efficace dès lors qu’ils amèneront une vraie valeur ajoutée aux utilisateurs en leur faisant gagner du temps. Nous n’en sommes qu’au balbutiement mais de belles expériences sont en train de se créer.

Enfin quels sont les outils ou logiciels que vous proposez à vos clients ?

Notre ADN est l’innovation, nous avons donc de nombreuses ressources disponibles pour nos clients :

– Cojebox : outil de création de mini-site internet et des visuels publicitaires

– Canalytics : outils de suivi des camapgnes sur un seul levier

– Cojerp : outil d’ERP qui permet de suivre selon les internautes les messages et les pages de destination les plus efficaces

– Cojemix : outils permettant de dynamiser des visuels publicitaires et les landing pages selon les cibles”

 

Interview réalisée par Romaine Klein
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